Il y a toujours eu une certaine rivalité entre Sorel et de Saint-Hyacinthe, mais il fut un temps où leurs habitants respectifs étaient reconnus pour les caractéristiques particulières de leurs bras :
Les gens de Sorel
Ont l’bras mortel;
Les gens d’Maska
Sont d’forts à bras !
Si l’efficacité du bras sorelois semblait rappeler la vie portuaire de la petite ville située au confluent du Saint-Laurent et du Richelieu, on peut croire que la force du bras maskoutain soulignait le labeur agricole de ses citoyens.
Source : Le Sorelois, 3 février 1888, retranscris dans le blogue Les Quatre Saisons, de Jean Provencher.